Le journaliste sur le « beat » Mike Hunt mis à la porte...

[DG Quebec]

Le journaliste aurait émis une opinion personnelle concernant les RFA restant à signer à Québec et le feu est pris depuis. L’agent n’a pas entendu à rire avec ces spéculations de « jambon » et demande la lune pour ses clients. Hunt aurait offert de faire un nouvel article qualifiant ces joueurs de « caviar » mais le DG Chartrand lui a montré la porte sur le champ afin d’éviter d’ajouter de l’huile sur le jeu.

Pousse mais pousse égal mon Mike!

La direction des Nordiques est désolé de cette mauvaise interprétation. Un nouveau journaliste sera attitré à la couverture de l’équipe sous peu.

Signé,
La direction des Nordiques

[DG Ottawa]

Pourquoi s'excuser d'appeler une pomme "une pomme"

[DG Islanders]

Une bonne affaire de réglé à Québec.

[DG Quebec]

Pourquoi s'excuser d'appeler une pomme "une pomme"

On est en 2020. Mike Hunt a appris à la dure que c’est la rectitude et le politically correct qui prime. Hunt n’est donc plus au goût du jour;)

Mais au delà de cela, Hunt était outré de son congédiement selon certaines sources. Il mentionnait que l’agent souhaitait passer le message qu’il se batterait pour ses joueurs. Hunt mentionnait que sous ce geste « altruiste », il allait pousser Joseph Labate à finir sur une chaîne de production chez Labatt et amener un Shane Eiserman de ce monde à rêver à temps plein de pouvoir devenir Yzerman. Entre les branches, les rumeurs parlent de contre-offres de 2 millions/année pour chacun de ces joueurs afin de contester les dires d’un journaliste déchu.

Le DG Chartrand aurait aussi sorti Hunt cul par-dessus tête hors de son bureau étant tanné d’entendre des niaiseries. Hunt a même eu l’audace de proposer à la direction de partir le mouvement « Jambons Lives Matter », une sorte de version cheap du BLM, afin de sauver son emploi mais...en vain.

C’est à se demander si le DG Chartrand est devenu trendy en agissant selon les standards de pensée unique de l’époque dans laquelle nous vivons.

Signé Mr.X

[DG Quebec]

Une bonne affaire de réglé à Québec.

La direction ne peut faire plus que de s’excuser au nom de l’organisation. De plus, le fautif a été puni sévèrement.